Christian Mattiello est satisfait de ses jeunes pousses (Photo : Mercato365)
Christian Mattiello, avant de parler des autres catégories, la réserve des Crocos fait une superbe saison...
C'est vrai qu'elle fait un très bon parcours, ça permet également de dynamiser le centre de formation. Quand les professionnels descendent, ils sont dans le bain et quand les U19 montent, ils font tout pour gagner leur place. Et puis la réserve permet d'aider des garçons comme Paquiez à passer professionnel. Avec la finale de la Coupe Gard Lozère, on a une belle fin de saison à vivre.
C'est important de gagner le titre lorsque l'on est leader à ce moment de la saison ?
On veut aller le plus haut possible dans toutes les compétitions. Au départ, ce n'était pas l'objectif, mais bon, quand on n'est pas loin, il faut jouer le coup à fond. Avant d'être un objectif, c'est un moteur.
Quel premier bilan pouvez-vous tirer pour le centre de formation ?
Toutes nos équipes sont sauvées, les résultats sont très intéressants. Chaque année, les équipes progressent. Et puis on a quatre ou cinq joueurs professionnels par match qui sont issus du centre. Depuis que Bernard Blaquart a repris le centre, nous avons de meilleurs résultats.
Vous étiez entraîneur il y a encore quelques semaines. Le poste de directeur du centre de formation est totalement différent ?
Même si on est compétiteurs, il y a forcément un changement dans le discours. Avant de penser à la compétition, on pense à la formation. Dans toutes nos équipes, on joue par rapport à nous et pas par rapport à nos adversaires.
Comme dans de nombreux clubs, l'objectif est-il d'avoir le même système de jeu de l'équipe première aux petites catégories ?
C'est l'objectif suprême. Mais plus qu'un système de jeu, ce que nous recherchons, c'est l'état d'esprit. On veut que les jeunes apportent de la folie, qu'il y ait des changements de rythme. Il faut parfois aller dans le déséquilibre. L'objectif, c'est d'amener tous nos joueurs à bien jouer au football. Il faut tenir compte de l'état d'esprit du club, on veut garder nos valeurs.
Vous êtes heureux aujourd'hui dans la formation ?
Evidemment. Je reviens à mes premiers amours. J'ai déjà travaillé dans la formation à Strasbourg et Perpignan. J'ai toujours été un formateur.
Enfin, continuez-vous à suivre les résultats de votre ancien club, l'AFL ?
Bien sûr, je suis l'AFL de très près. On ne peut pas avoir été plusieurs mois dans un projet et tout oublier. J'ai encore régulièrement des nouvelles des dirigeants et de certains joueurs. Je suis évidemment de tout cœur avec eux. Quand on joue le samedi ou le dimanche, la première chose que je fais, c'est regarder le score de l'AFL. Les bons résultats ne m'étonnent pas. Avec tout ce que le club a vécu ces derniers mois, faire ce que fait le groupe est formidable. Cette équipe est exceptionnelle. Il reste trois matchs, il faut en gagner deux. Avec la montée ratée au goal-average la saison dernière, ils doivent avoir une telle envie que personne ne peut les arrêter.
C'est vrai qu'elle fait un très bon parcours, ça permet également de dynamiser le centre de formation. Quand les professionnels descendent, ils sont dans le bain et quand les U19 montent, ils font tout pour gagner leur place. Et puis la réserve permet d'aider des garçons comme Paquiez à passer professionnel. Avec la finale de la Coupe Gard Lozère, on a une belle fin de saison à vivre.
C'est important de gagner le titre lorsque l'on est leader à ce moment de la saison ?
On veut aller le plus haut possible dans toutes les compétitions. Au départ, ce n'était pas l'objectif, mais bon, quand on n'est pas loin, il faut jouer le coup à fond. Avant d'être un objectif, c'est un moteur.
Quel premier bilan pouvez-vous tirer pour le centre de formation ?
Toutes nos équipes sont sauvées, les résultats sont très intéressants. Chaque année, les équipes progressent. Et puis on a quatre ou cinq joueurs professionnels par match qui sont issus du centre. Depuis que Bernard Blaquart a repris le centre, nous avons de meilleurs résultats.
Vous étiez entraîneur il y a encore quelques semaines. Le poste de directeur du centre de formation est totalement différent ?
Même si on est compétiteurs, il y a forcément un changement dans le discours. Avant de penser à la compétition, on pense à la formation. Dans toutes nos équipes, on joue par rapport à nous et pas par rapport à nos adversaires.
Comme dans de nombreux clubs, l'objectif est-il d'avoir le même système de jeu de l'équipe première aux petites catégories ?
C'est l'objectif suprême. Mais plus qu'un système de jeu, ce que nous recherchons, c'est l'état d'esprit. On veut que les jeunes apportent de la folie, qu'il y ait des changements de rythme. Il faut parfois aller dans le déséquilibre. L'objectif, c'est d'amener tous nos joueurs à bien jouer au football. Il faut tenir compte de l'état d'esprit du club, on veut garder nos valeurs.
Vous êtes heureux aujourd'hui dans la formation ?
Evidemment. Je reviens à mes premiers amours. J'ai déjà travaillé dans la formation à Strasbourg et Perpignan. J'ai toujours été un formateur.
Enfin, continuez-vous à suivre les résultats de votre ancien club, l'AFL ?
Bien sûr, je suis l'AFL de très près. On ne peut pas avoir été plusieurs mois dans un projet et tout oublier. J'ai encore régulièrement des nouvelles des dirigeants et de certains joueurs. Je suis évidemment de tout cœur avec eux. Quand on joue le samedi ou le dimanche, la première chose que je fais, c'est regarder le score de l'AFL. Les bons résultats ne m'étonnent pas. Avec tout ce que le club a vécu ces derniers mois, faire ce que fait le groupe est formidable. Cette équipe est exceptionnelle. Il reste trois matchs, il faut en gagner deux. Avec la montée ratée au goal-average la saison dernière, ils doivent avoir une telle envie que personne ne peut les arrêter.