Bernard Blaquart (entraîneur de Nîmes, après la victoire (4-0) contre le Gazélec Ajaccio, synonyme de montée en Ligue 1) : «On ne pense pas à la fatigue, on est très heureux, c'est tellement beau. C'est la soirée parfaite qui conclut une belle saison. Nous sommes un beau dauphin de Reims. Il y a trois ans en arrière, le club était moribond, avec une image déplorable et catastrophique.
On a failli se faufiler dans le trio de l'accession la saison dernière. On est repartis avec la même dynamique. Les clés de la réussite ? Il y en a plein. La réussite que l'on ne maîtrise pas. On a su conserver notre noyau fort. On y ajouté des recrues pour avancer. On va profiter. Tous ces résultats depuis trois saisons, on ne pouvait pas les imaginer, ni même les rêver. On n'avait rien à perdre. Cette accession, c'est aussi beau que d'avoir sauvé le club il y a deux saisons.»

Rani Assaf (président de Nîmes) : «Je suis ce soir un président comblé.»

Laurent Boissier (coordinateur sportif) : «C'est du grand bonheur, une grande fierté, tout ce travail accompli depuis trois saisons. On a été réguliers dans la performance, on est seconds au classement depuis le mois d'octobre, cette accession n'est pas un hasard. Maintenant on va savourer.»

Jean-Jacques Bourdin (parrain de Nîmes) : «C'est tout simplement l'aboutissement d'un gros travail, un résultat collectif. Nîmes est en train de redevenir un club solide et qui a les pieds sur terre. Il y a à Nîmes une osmose et un esprit formidable. C'est ce qui a permis cette réussite.»

 

Renaud Ripart : «Je n'y crois pas encore. C'est un truc de fou, cette accession, c'est le summum. Il y a trois ans, le club était mort, ce soir on est ressuscités.»

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Stanislas Golinski
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Stanilas Golinski quand il avait 80 ans, toujours fidèle à Nîmes
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